Le creusement du lit sur la partie amont du tracé a eu lieu ainsi que la mise en eau de ce premier tronçon.

L’enlèvement des murs, un élément clé dans ces travaux, des matériaux s’intégrant parfaitement lors de leur réutilisation.

Pêche électrique avant la mise en eau du nouveau lit. Un secteur jamais pêché jusqu’à lors soumis à l’influence des résurgences qui , rappelons-le, modifie le taux d’oxygène en aval et asphyxie les poissons suivant les débits et la pression atmosphérique. Une sélection naturelle qui a tout de même permis de récolter 90 kgs de poissons dont de très gros ombres en quantité et de nombreuses truites de toutes tailles dont la plupart maillées. Les ombres avaient terminés de pondre (sauf une femelle). Nous avons volontairement choisi cette période d’intervention pour les travaux car nous voulions nous assurer des débits et une nappe phréatique satisfaisants. Ces travaux seront capables de rendre, dès la première année, 100 fois le préjudice que l’on pourrait prétendre pour avoir déranger les poissons si tôt dans l’année. le gain piscicole et biologique dans son ensemble est sans équivalent.

Le futur lit est aménagé afin de donner une autre valeur à la rivière…

Mise en eau…!

Effacer les traces de dizaines d’années de rectification…

Juste à côté du futur lit, l’ouverture de la plaine alluviale s’amplifie. Enlèvement des bois restant, stockage des branches et petits bois pour la transformation en bois énergie, et une zone inondable qui s’agrandie à vue d’œil !

Le terrassement de la partie aval a commencé et la semaine prochaine devrait continuer à assouvir notre engagement envers les milieux aquatiques.